Dominique Joye

Dominique Joye est professeur de sociologie à l’Université de Lausanne. Il partage son intérêt entre deux grands domaines : l’étude des parcours de vie et des inégalités, notamment dans le cadre du NCCR LIVES, mais aussi les questions de méthodologie d’enquêtes, notamment à travers sa participation à des grands programmes internationaux et à leurs comités méthodologiques comme la European Social Survey (ESS), l’International Social Survey Program (ISSP) ou la European Value Survey (EVS).

Écologie : litanie du futur ou pouvoir négligé ?

Mischa PiraudLuca Pattaroni et Dominique Joye | 07.04.2014

Far away from the promises of a better future, the ecological question provokes fears that are widely shared. It contributes to a negative form of a common future that remains nevertheless quite detached from the everyday experience. Indeed, in opposition to other concerns for the future, the ecological threat appears to be more rooted in an abstract construction than on situated affordances. Fear appears here as the lowest common denominator of our relation with future. [...]

Transdisciplinarité, une contribution suisse à un dialogue mondial.

Frédéric Darbellay, Moira Cockell, Jérôme Billotte et Francis Waldvogel (dir.), A Vision of Transdisciplinarity. Laying Foundations for a World Knowledge Dialogue, 2009.

Dominique Joye | 01.09.2009

Ce livre est particulier et innovant sous bien des aspects. On peut mentionner, d’abord, la personnalité des éditeurs, qui ne se situent pas uniquement dans le champ académique stricto sensu mais ont aussi largement contribué à sa structuration ; une prise de position en faveur de la transdisciplinarité ne prend que plus de relief à [...]

Sondages de printemps ou printemps des sondages ?

Dominique Joye | 19.04.2007

La période électorale que vit actuellement la France est bien sûr un moment de débats. Ceux-ci ne se limitent pas à la seule campagne stricto sensu, mais englobent le rôle politique de plusieurs acteurs et institutions. La question des sondages ressurgit ainsi non seulement parce qu’elle renvoie à l’opinion publique1 et à l’image du votant [...]